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borderline
mais pas avec tout le monde ?
Quoi qu'il en soit, je ne veux pas imposer un diagnostic à n'importe qui, j'essaye juste de trouver comment stabiliser les relations familiales. Je puis honnêtement dire que les chances de le voir aller en thérapie sont pratiquement de zéro.
R.
Les borderlines sont des
borderlines.
Ils
montrent des comportements caractéristiques borderlines quasi tout
le temps. Ceci dit, ils ne sont pas toujours détestables. Comme
l'asthme, la maladie est toujours là, juste vraiment mauvaise
parfois contre d'autres fois. Les
gens dans la famille "font avec" les comportements (marchant sur
des coquilles d'oeufs), et peuvent même être aveuglés par les
comportements.
Nous
avons tendance à faire des excuses aux membres de la famille. Nos
enfants ne nous connaissent que comme parents, et sont instruits à
vivre de notre manière.
Un
bon livre est "Comprendre la mère
Borderline" par Christine Ann Lawson.
Je
sais que le votre est masculin, mais vous obtiendrez une bonne
comprehension grace au livre sur la façon dont les divers mécanismes
de pensée borderline fonctionnent. De même, vous aurez une bonne
idée de ce qui pourrait être un meilleur comportement de votre part.
Clairement
les borderline agissent différemment.
Dans
ce cas-ci, si vous êtes aimé, vous êtes traités différemment par lui
que si vous êtes détesté.
Au
final, vous devez faire la bonne chose pour vous-même. Compromettre
votre propre système éthique ou de valeur ne vous aidera pas, et ne
l'aidera certainement pas .
Les
borderlines (il y en a de multiples types) regardent le monde
différemment. Dans ce cas-ci, il semble peu disposé même à
considérer des solutions de rechange ou à faire des compromis. Aucun
compromis que vous ne ferez ne sera réciproque dans ce cas-ci.
Mise
en garde:
Toutes
les informations présentes sur ce site sont dans le but d'aider à
comprendre un trouble pour
le moins "particulier" et déroutant.
Mais
aussi et surtout à soutenir les personnes qui souffrent, malades
ou pas.
En
tous les cas, il est INDISPENSABLE d'avoir recours à un médecin
psychiatre et ou psychothérapeute spécialiste de la maladie pour confirmer ou infirmer un diagnostic
Quoiqu'il
en soit le nom d'une maladie importe peu, ce qui compte, c'est
d'appliquer le "bon" traitement à chaque malade.