Le
trouble de la personnalité "Etat limite" ou "Borderline" et le
suicide.
Préface,
le trouble borderline face à ce fléau.
Le
suicide et l'auto mutilation, est-ce lié à la maladie ?
Données statistiques.
Liens entre suicide et trouble de la personnalité.
Suicide
au
canada et trouble borderline.
Témoignage,
des fois ca se termine
mal.
Réponses d'une
malade sur le suicide impulsif.
Conseils de l'Association Américaine de Psychiatrie à usage des
thérapeutes.
Associations
pour
vous aider, vous n'êtes pas seul(e).
Le trouble
Borderline se traite et se soigne
!!!! ... et se guérit.
MariIyn,
une star Borderline ?
Hospitalisation pour
prévention du suicide ?
Ce n'est pas
de gaieté de coeur que nous abordons le sujet mais il ne sert à rien
de se voiler la face
Sinon autant
demander à une personne de votre entourage qui souffre "as-tu envisagé
de te suicider ?", devinez sa réponse !
S'il y a
bien des cas où l'on souhaite ardemment "se planter" c'est bien
celui-ci.
Nous ne
souhaitons qu'une chose, c'est que l'on puisse dire "L'auteur crie au
loup" alors qu'il n'y a pas matière à ...
Que l'on puisse garantir "Cela ne concerne
que les patients les plus gravement malades, l'exception"
.
Série
d'articles, d'extraits relevés sur le sujet. La encore, tous ses
textes sont issus de la littérature américaine ou canadienne
Il ressort
que le taux de suicide ("accompli",
"reussi") chez les patients souffrant
d'un trouble état limite borderline est de 8% à 10%(1
/ 10) alors que le taux
de suicide aux états-unis (toutes populations confondues)
est de 0.011% (1 / 10000) (source NIMH)
- Le
plus fort taux de trouble Borderline diagnostiqué, est entre l'age
de 19 ans et l'age de 34 ans
- 10 à
20% des personnes souffrant d'une maladie de l'esprit ont un trouble
de la personnalité borderline
- L'age moyen du suicide chez les personnes souffrant
d'un trouble état limite borderline est de 32 ans
- Taux
de suicide "réussi" de 10% des malades (tous
ages
confondus) !!!
Joel Paris - McGill University, Montreal, Quebec,
Canada
Le suicide chez les patients présentant des troubles
de la personnalité limite.
"Santé Mentale Au Québec" Volume 19, Numéro 2,
Automne 1994 (pages 117 à 130)
Résumé:
Les
patients
qui soufrent de troubles liés à la personnalité limite (PL)
représentent un défi clinique principalement en raison de leur
tendance chronique au suicide. La recherche menée sur les
résultats à long terme montre qu'environ
10% des patients présentant des troubles de la PL finiront par réussir leur suicide (par
mourir), mais qu'il
reste difficile de prédire lesquels sont les plus à risque. Il
n'existe encore aucune preuve qu'on puisse prévenir le suicide
grâce à un traitement.
- Taux
de parasuicide (tentatives) de 73% des malades (tous ages confondus)
Soloff PH, Lis JA, Kelly T, Cornelius J, Ulrich R:
"facteurs de risque de comportements suicidaires chez les patients
avec trouble borderline DSM III, qui sont ou non passés à
l'acte)
"American Journal of Psychiatry 1994; 151(9):1316-23"
Résultat:
72.6%
des patients ont un passé de
tentatives de suicides pour
une moyenne de 3.39 tentatives
par patient. La comorbidité
de diagnostics de depression, alcoolisme, usage de drogue n'a pas
permis de distinguer ceux qui sont passés à l'acte des autres.
Conclusions: Le risque de suicide (réussi) est plus
important chez les patients plus agés, ceux avec précédentes
tentatives, personnalité antisociale,
actions impulsives et humeur depressive
(Note de l'aapel: Selon une étude INSERM, le taux
de tentative de suicide en France sur une année est de 0.3% de
la population Française c'est à dire 3 pour 1000)
(Note de l'aapel: A titre de comparaison, par
exemple le nombre de blessés par accident de la route en France
en 2001 était de 153000 soit 0.25% de la population Française
c'est à dire 2.5 pour 1000).
* Barber ME, Marzuk PM, Leon AC, Portera L. - Payne
Whitney Clinic, New York Hospital, NY.
1998 Am J Psychiatry. - Aborted suicide attempts: a
new classification of suicidal behavior.
Résultats: Plus de la moitié des 135 sujets
rapportaient avoir fait au moins une tentative avortée de
suicide. Hormis un plus jeune âge, aucune caractéristique
démographique n'a été associée aux tentatives avortées. Des
tentatives avortées ont été rapportées plus souvent chez les
sujets avec un diagnostic de trouble de la personnalité
borderline que chez les sujets avec d'autres diagnostiques.
- 30
à 40% des suicides sont commis pas des individus avec un trouble
de la personnalité (dont
borderline)
Duberstein PR, Conwell Y.
Clinical-Psychology:-Science-and-Practice. 1997; 4(4):359-76,
1997.
- Parmis
les adolescents et jeunes
adultes qui se suicident 33% sont borderline
Runeson B, Beskow J: "Trouble borderline chez les
jeunes suedois qui se suicident".
"Journal of Nervous & Mental Disease" 1991;
179(3):153-6
Résumé: 58 suicides commis entre 1984 et 1987 par des
adolescents et jeunes adultes (ages 15 à 29 ans) dans une
communauté urbaine.
- Article
du National Mental Health
Association sur les signes
alarmants de la maladie mentale
.
haut
.
http://www.laurapaxton.com/research.html#
Suicide
et
automutilisation - Tour d'horizon
Q : Est-ce que des personnes s'auto-mutilent parce
qu'elles ont un trouble de la personnalité Borderline ou parce
que c'est une méthode commune que les gens ont face à un
traumatisme, indépendamment du fait qu'ils ont un trouble
Borderline ?
Une
étude
récente a montré que le trouble de
stress post-traumatic, abus de substance et de troubles
explosifs intermittents étaient considérablement liés au
comportement d'auto-mutilation, indépendamment du fait que les
sujets avaient été diagnostiqués avec un trouble Borderline ou un trouble de personnalité
antisocial. En outre, des forts niveaux de dissociation
étaient liés à l'automutilation, après d'autres facteurs, tels que
l'automutilation et le trouble borderline (Zlotnick, 1999).
Q: N'y a t-il pas à s'inquiéter quand une personne
accomplit presque le suicide et s'arrête
avant
l'exécution de l'acte ?
Une
étude
1998 a découvert que la réponse est "non." Plus de la moitié des 135
sujets, qui avaient été admis à l'hôpital suite à une tentative
réelle de suicide avaient faits au moins 1 tentative avortée
précédemment. En outre, des tentatives précédentes de suicide
avortées ont été rapportées plus souvent pour les sujets Borderline
que pour les sujets avec d'autres diagnostics. Les sujets qui
avaient fait une tentative de suicide avortée étaient presque deux
fois plus à risque de faire une tentative réelle de suicide que les
autres (Barber, 1998).
Q: Quelle relation y'a t'il entre le suicide et le
trouble Borderline ?
Une
étude
1997 a de manière approfondie examiné le lien entre le suicide et le
trouble Borderline et a constaté que l'impulsivité
était la seule
caractéristique du trouble de la personnalité Borderline (à l'exclusion du critère auto-destructif) qui a
été associée à un nombre plus
élevé de tentatives précédentes
de suicide après controle pour des diagnostics à vie de dépression
et d'abus de substance. Il y avait corélation entre des histoires de
maltraitance durant l'enfance et le nombre de tentatives de suicide
(Brodsky, 1997).
Beaucoup
de
professionnels ne prennent pas au sérieux des menaces de suicide
par ceux qui ont été diagnostiquées avec le trouble de la
personnalité Borderline. Peut-être devraient-ils relire
(Duberstein, 1997) qui a prouvé qu'approximativement
30-40%
des suicides sont commis par des individus avec des troubles de la
personnalité, et
(Bronisch, 1996) qui a prouvé qu'au moins un tiers des suicides
réalisés ont été faits par ceux avec des troubles de personnalité.
Une
étude
faite sur 347 patients psychiatriques de l'institut psychiatrique de
l'état de New York a recherché des indices dignes de confiance et
généralisables du comportement suicidaire qui croiseraient des
comportements diagnostiqués. Ce qu'ils ont trouvé était que bien que
certains diagnostics puissent produire du stress, à moins qu'il ait
y eu également une "diathèse" comme des tendances vers le hauts
ideation et impulsivités
suicidaires, une tentative de
suicide n'était pas prévisible basé sur seul le diagnostic. Puisque le comportement impulsif
est une facette forte du trouble de la personnalité Borderline, cette
information peut aider à expliquer pourquoi un pourcentage si
élevé des suicides réalisés le sont par ceux avec un trouble
Borderline (Mann, 1999).
haut
http://www.borderlinedisorder.com/conferences.htm
De la Recherche à la Communauté :
PERSPECTIVES
FAMILIALES SUR TROUBLE DE PERSONNALITÉ BORDERLINE
Samedi et dimanche, 19-20 octobre, 2OO2
Université de Columbia - Collège des médecins et
des chirurgiens
New York, NY
SPONSORS DE LA CONFÉRENCE
Alliance d'éducation nationale pour le trouble de
personnalité Borderlinel (Nea-BPD)
Collège des médecins et des chirurgiens de
Columbia
PRÉSIDENT DE CONFÉRENCE
Herbert Pardes, MD, président et cadre supérieur
Hôpital Presbyterian NY
en association avec
Institut national de santé mentale
Alliance nationale pour le malade mental
Bureau d'état de New York de santé mentale
...
But de la CONFÉRENCE
...
Maladie psychiatrique
dévastatrice
Le trouble de personnalité
Borderline (BPD) est une maladie psychiatrique dévastatrice .
Le diagnostic englobe les patients présentant un
modèle dominant d'instabilité affective, des difficultés graves
dans des rapports interpersonnels, des problèmes avec le controle
comportemental ou impulsifs
(comportements suicidaires y compris), et des processus cognitifs abrupts.
Dix pour cent de patients
Borderline commettent par la suite le suicide ( Linehan,
et autres, 1993), faisant du trouble un problème de santé
critique. La prédominance estimée du Trouble Borderline dans la
population générale est 2-3% (Torgersen, et autres, 2000),
et on l'a estimé que 11% de patients et 20% d'hospitalisés
psychiatriques se présentant pour des traitements correspondent
aux critères DSM
IV pour des troubles de personnalité (Widiger et
Frances, 1989).
haut
http://www.cam.org/~aqs/docs/vav/v08/v08n1-01.html
Suicide et psychiatrie
Deux
sources
d'information démontrent l'association entre les troubles
mentaux et le suicide: l'autopsie psychologique et le suivi de
patients psychiatriques. L'autopsie psychologique reconstruit le
mode de vie et la personnalité du décédé en interviewant les proches
et en analysant les dossiers médicaux, scolaires et
judiciaires (Shneidman et Farberow, 1961).
...
La
conclusion
s'applique aussi à des échantillons non-occidentaux, comme l'étude
auprès de trois groupes ethniques à Taiwan (Cheng, 1995). Les troubles les plus fréquents
sont la dépression (de 30% à 76%), la dépendance à l'alcool et aux
drogues (environ 33%) et la
personnalité limite (environ 30%),
un état qui caractérise en particulier les personnes qui ont de la
difficulté à développer un lien affectif solide. Une étude sur des
suicides d'adolescents américains fait ressortir un trouble de la
personnalité chez plus de 42% (Brent et al., 1994). La plupart
présentent soit des caractéristiques d'impulsivité
ou de dépendance (AAPEL: Peur de
l'abandon). Une autre étude sur un échantillon de
jeunes rapporte un taux de diagnostics de 90% et 46% de
l'échantillon suivait un traitement; les troubles affectifs, l'abus
de drogues et d'alcool de même que les conduites antisociales,
c'est-à-dire délinquantes, sont les conditions les plus fréquentes
chez les garçons (Shaffer et al., 1996)
Plus
de
57% des personnes décédées par suicide présentent un trouble de la
personnalité.
Michel
Tousignant,
Ph.D.
Laboratoire
de
recherche en écologie humaine et sociale Université du Québec à
Montréal
haut
Le
suicide au canada - direction des services de santé 1994 (230
pages)
http://www.hc-sc.gc.ca/hppb/sante-mentale/pdf/suicid_f.pdf
Autres troubles
Les
etudes
sur lesquelles s'est penché Tanney (1992) indiquent que le taux de suicide et de comportement suicidaire est
plus élevé chez les personnes
qui souffrent de troubles anxieurs, plus particulierement de
troubles de panique, ainsi que chez celles qui présentent une personnalité antisociale
ou une personnalité limite.
On
estime
en effet à 6.5% et à 5% respectivement la proportion de sujets
souffrant d'une personnalité limite et de ceux qui presentent une
personnalité antisociale qui finissent par se donner la mort
Facteurs neurobiologiques
De
recentes
etudes en neurobiologie mettent en evidence une deficience de la
neurotransmission de serotonine
au niveau du cerveau dans les cas de suicide chez plusieurs
groupes de malades, y compris ceux qui souffrent de
dépression
grave,
de
schizophrénie, de
personnalité limité et de personnalité antisociale
(lester 1988)
Elle
montrent
que de faibles concentrations du metabolite 5HIAA de la sérotonie
dans le liquide céphalo rachidien des patients déprimés permettaient
de prédire de dix à vingt fois plus de risques de décès par suicide
dans l'annee suivant la sortie de l'hopital (asberg et coll 1986)
...tentatives de suicide
la moitie souffraient de troubles de la
personnalité limite et antisociale
ces auteurs ont suivi 228 candidats au suicide
pendant une annee afin de determiner si le fait de regler leurs
problemes avait pour conséquence de réduire le besoin de recourir
ultérieurement à des comportements suicidaires Apres 3 mois, ceux
qui avaient surmonté leurs difficultés etaient bien moins
déprimés, moins hostiles et moins isolés qu'ils ne l'étaient au
départ leur estime d'eux memes avait augmenté et leur sentiment
d'impuissance diminué.En outre leurs relations conjugales et
familiales s'étaient améliorées nettement plus que ceux qui
n'étaient pas parvenus à regler leurs problemes
haut
American
Psychiatric Association
http://www.psych.org/clin_res/borderline.book-4.cfm
Guide
pratique pour le traitement des patients souffrant d'un trouble de
la personnalité Borderline
PARTIE
A:
RECOMMANDATIONS
DE
TRAITEMENT POUR DES PATIENTS AVEC TROUBLE DE PERSONNALITÉ BORDERLINE
IV. QUESTIONS SUR LA GESTION DES RISQUES
A. CONSIDÉRATIONS
GÉNÉRALES
...
B. SUICIDE
Les
menaces, les gestes, et les tentatives de suicide sont très communes
parmi les patients présentant le trouble de personnalité limite, et 8%-10%
commettent le suicide. La gestion du risque de suicide pose donc
des défis cliniques et medico-légals importants pour les cliniciens.
Cependant,
il peut être difficile de quantifier le risque de suicide pour ces
patients pour un certain nombre de raisons.
D'abord,
la "suicidalité" peut être aigue, chronique, ou tous les deux, et les
réponses à ces types de "suicidalité" diffèrent par certains côtés.
La
deuxième est liée à la tendance des patients présentant le trouble de
personnalité Borderline d'être chroniquement suicidaire et de
s'engager dans des comportements auto-destructeurs, il peut être
difficile de discerner quand un patient est face au risque imminent de
faire une tentative sérieuse de suicide.
Troisièmement,
même
avec une attention particulière au risque de suicide, il est
souvent difficile de prévoir l'automutilation ou le suicide sérieux,
puisque ce comportement peut
se produire impulsivement et
sans avertissement.
Quatrièmement,
étant
donné le potentiel de difficultés pour former une bonne alliance
thérapeutique, il peut être difficile de travailler en collaboration
avec le patient pour le protéger contre l'automutilation ou le suicide
sérieux. Enfin, même avec le bon traitement, quelques patients
commettront le suicide. Ce qui suit sont des considérations de gestion
des risques pour le comportement suicidaire chez les patients
présentant le trouble de personnalité Borderline:
- Surveillez les patients soigneusement pour le risque
de suicide et documentez cette évaluation; rendez-vous compte que
les sentiments de rejet, les craintes d'abandon,
ou un changement de traitement peuvent précipiter l'idéation ou
les tentatives suicidaires.
- Prenez les menaces de suicide au sérieux et
abordez les avec le patient. Agir (par exemple, hospitalisation)
afin d'essayer de protéger le patient contre de sérieuses
automutilations est indiqué pour le risque aigu de suicide.
- La suicidalité chronique sans risque aigu doit être
abordée dans la thérapie (par exemple, se concentrer sur le
contexte interpersonnel des sentiments suicidaires et satisfaire
le besoin de patient à la responsabilité de prise de ses actions).
Si un patient avec une suicidalité chronique devient intensément
suicidaire, le clinicien devrait agir afin d'essayer d'empêcher le
suicide.
- Traitez activement les troubles de l'axe de comorbid,
en se référant plus particulièrement à ceux qui peuvent contribuer
à augmenter le risque de suicide (par exemple, forte dépression,
trouble bipolaire / maniaco
depression, d'alcool ou de drogue abus/dependance).
- Si la suicidalité aigue est présente et ne répond pas
à l'approche thérapeutique employée, la consultation avec un
collègue devrait être considérée.
- Considérez faire participer la famille (si
ceci est cliniquement approprié et avec un attention adéquate à la
confidentialité) quand les patients sont chroniquement
suicidaires. Pour la suicidalité aigue, impliquez la famille ou
une autre "significatif" si leur participation protégera
potentiellement le patient contre le mal.
- Une promesse de se maintenir sain et sauf (par
exemple, un "contrat de suicide") ne devrait pas être utilisée
comme moyen comme produit de remplacement d'une évaluation
clinique soigneuse et complète de la suicidalité du patient avec
une documentation associée. Cependant, quelques cliniciens
expérimentés soignent avec prudence et utilisent
intentionnellement la négociation dans une alliance thérapeutique,
incluant y compris la discussion de la responsabilité du patient
de se garder lui-même ou elle-même sain et sauf, comme manière de
surveiller et réduire au minimum le risque de suicide.
C. COLÈRE,
IMPULSIVITE, et VIOLENCE
...
D. FRANCHISSEMENT DE
LIMITES
haut
Vous
n'êtes
pas seul(e)
Il
existe
de très nombreuses associations à travers le monde pour lutter contre
ce fléau qu'est le suicide.
Elles
ne
sont pas la pour fournir une quelconque "morale" mais pour aider
L'on
peut
citer
- L'association
www.suicide-quebec.netvient
en
aide partout dans la province de Québec, Canada
- L'association PHARE Enfants-Parents www.phare.org , a pour
objectif de lutter sur toute la France contre l'autodestruction dans
une démarche de prévention du mal-être et du suicide des jeunes.
L'association regroupe de nombreuses familles concernées par le
suicide.
- "Le suicide" site
d'information et d'aide sur le suicide (au Quebec), Canada http://www.chez.com/maika/suicide.html
haut
AAPEL
Le suicide
fait partie des critères
DSM du trouble borderline.
On retrouve
aussi le suicide dans les critères diagnostiques DSM de la dépression
.
.
Ouvrages sur le
trouble.
.
.
Mise
en garde:
Toutes
les informations présentes sur ce site sont dans le but d'aider à
comprendre une maladie pour
le moins "particulière" et déroutante
Mais
aussi et surtout à soutenir les personnes qui souffrent, malades
ou pas. En tous les cas, il est INDISPENSABLE d'avoir recours à un médecin
psychiatre et / ou psychothérapeute spécialiste de la maladie pour confirmer ou infirmer un diagnostic
Quoiqu'il
en soit le nom d'une maladie importe peu, ce qui compte, c'est
d'appliquer le "bon" traitement à chaque malade.
.
.
Dernière mise à jour 2020
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